Montréal Sous la coupole boréale |
Montréal,
l’hiver : à peine arrivé, j’ai ressenti cet hiver comme une gifle sur le
visage, le froid, le gel, le vent canadiens. Mais la vie continue comme si de
rien n’était. La ville existe sous la
nature, dans ses méandres de galeries commerçantes, la ville persiste sous la
neige, dans l’épaisseur de la neige… L’hiver est une couleur, une couleur à
laquelle on s’habitue. Prise entre le nouveau et l’ancien continent, emprunte d’histoire et de francophonie, la ville s’affirme sous la neige - sous le soleil, tout autant comme un phare pointant vers le futur. |
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Montréal a les
avenues larges comme les paysages du nouveau continent et le fleuve
tranquille qui promène ses îles et ses icebergs tout au long de la saison
majestueuse. |
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C’est dans ses
aspects hirsutes, telle cette cathédrale adossée à un gratte-ciel, ou ce
magasin bâti de ces pierres émigrées d’Angleterre qui lestaient les bateaux
que j’aime le plus Montréal. |
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Elevée
une première fois en Angleterre, l’arche de Goldworthy au Cirque du Soleil enjambe
les continents comme le font ces gens du spectacle |
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Fête
des Neiges, qu’emporte la nuit, tes heures sont comptées sur les doigts de la
fée qui te fait naître au rayons de l’aurore et mourir aux rayons du soleil. |
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